Après les malheureux et douloureux événements qui se sont déroulés à Charlottesville, je me suis posée une question fondamentale : C’est une chose de voir le racisme d’un coté et de la fustiger, mais c’en est une autre d’en traquer les racines en soi. C’est vrai en fait, suis-je raciste? Certes le président des EU est un porte-drapeau non apologétique de la division, mais chez nous aussi le président s’est fendu de quelques blagues aux relents fétides. Il semble que ce racisme, que la plus part de ces ismes soient comme des champignons, fongi qui ravagent notre planète et pervertissent notre nature humaine. Mais ne suis-je pas moi-même impliquée?
Je commets parfois comme beaucoup d’entre nous l’erreur de considérer la masse au travers de mes préjugés au lieu de l’individu. Privant ainsi mon cerveau du discernement qui ferait de moi une véritable humaniste. Je dépouille cet individu du droit d’être ce qu’il est, en dépit de sa race, de son genre ou de ses croyances, pour ne voir que matière à rire et à critiquer. Du sommet de quelle instance?. Il est plus que jamais temps de se montrer vigilant.
Je suis tellement d’accord avec toi! Tu as le bonheur de voyager ça te permet d’ouvrir tes horizons et de connaître différentes cultures. C’est merveilleux.
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On ne devrait jamais considérer les gens à travers nos préjugés car ça fait de nous le raciste de quelqu’un. Je pense qu’il faut énormément de sagesse afin de réussir à ne plus l’être. Surtotut que la société nous pousse à mettre en évidence ces différences.
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