Life-line.

Fin des sept jours. enfin pas tout à fait. ça c’était hier. Mais j’ai appris une chose aussi. C’est que pour sortir de  sa boite, il faut parfois aussi briser la prison qu’on s’est construite. Le défi d’écrire sept jours de suite sur ce qui me passe par la tête et de l’illustrer avec une de mes œuvres produite le même jour, est un défi costaud . Vous pouvez me croire. Surtout quand survient un impondérable. L’impondérable cette fois-ci n’était pas ouvert à la négociation. il m’a maintenue allongée position peu favorable à l’usage d’un ordinateur fut-il portable. Mais s une fière chandelle. Car il m’a offert l’opportunité d’ouvrir une autre brèche dans mon univers si formaté. Il m’a appris que je n’avais pas à m’enfermer dans une contrainte. Et que créer, dans ce cas-ci écrire, devait rester un plaisir quoiqu’il arrive. Il m’a permis de comprendre que la dead-line portait bien son nom. La frontière de la mort. Il m’a proposé de suivre la Life-line. La frontière de la vie. Et c’est cool parce que je me mettais la rate au court-bouillon en me demandant ce que mon cerveau surmédiqué pouvait bien produire. Et aussi comment m’y prendre en étant allongée?  Et surtout… je n’en avais pas envie. Alors j’ai suivi les conseils de l’impondérable. Pendant quelques instants ce fut inconfortable. ça heurtait aux angles. Comme pour une nouvelle paire de chaussures, il fallut que je m’y fasse. Mais par la suite, mon corps s’est détendu et j’ai élargi la brèche jusqu’à ce que s’effondre la prison.

Alors une belle chose d’apprise! Cette semaine fut très positive. de petites victoires en plus grandes victoires j’ai vu mon horizon s’élargir. Bon je vais continuer sur cette voie. Elle me promet de bien belles surprises.

Et aussi j’ai binge-watché « Versailles » et je suis triste parce que je dois attendre la saison 3 maintenant.

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